VÉRO 1ÈRE, REINE D'ANGLETERRE

VÉRO 1ÈRE, REINE D'ANGLETERRE
Un Événement 26000 couverts
soutenu par la Ville de Dijon,
en partenariat avec le TDB,
l'ABC et la Vapeur
Texte Gabor Rassov
Mise en scène Philippe Nicolle
Avec (jeu, musique, manipulation) Sébastien Coutant, Patrick Girot, Valérie Larroque, Denis Lavant, Julien Lett, Michel Mugnier, Daniel Scalliet, Ingrid Strelkoff
Création musicale Daniel Scalliet
Construction, scénographies, accessoires Patrick Girot, Julien Lett, Michel Mugnier, Daniel Scalliet avec l'aide de François Emmanuelli
Peinture décor Claire Jouet, Laetitia Gautier
Création costumes Camille Perreau assistée de Laurence Rossignol
Postiches et maquillage Lucie Pfeiffer’ova
Créations lumières Hervé Dilé assisté de Béranger Thiery
Régie générale Daniel Scalliet
Assistanat à la mise en scène et coordination Lise Le Joncour
Avec l'aide de Claire Jouet et Laetitia Gautier (peinture décor), Alexandre Flahaut (son), François Emmanuelli (décor)
Production diffusion Claire Lacroix
Production 26000 couverts
Coproduction et résidences L’Atelier 231 - Sotteville-lès-Rouen ; Le Parapluie - Aurillac ; Ateliers Frappaz - Villeurbanne ; Lieux Publics – Marseille ; Quelques P’Arts - Boulieu-les-Annonay ; Les Tombées de la Nuit - Rennes ; Le Cratère - Alès ; L’Usine - Tournefeuille ; La Transverse - Corbigny
Avec le soutien de DGCA (Ministère de la Culture) ; DRAC Bourgogne-Franche-Comté ; L’Adami ; Spedidam ; Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté ; Ville de Dijon
Halle 38, il y a là une baraque foraine et quelques caravanes : ce sont les Mélodrames Stutman ! L’une des dernières familles du théâtre de foire présente son plus grand succès : le destin de Véronique, qui n’osait se rêver gérante de Franprix et finit Reine d’Angleterre, décapitée. De villes en villages, la famille Stutman traîne sa remorque et ses casseroles : une mère autoritaire portée sur la bouteille, un père violent et cabot, deux fils monstrueux, des cousins louches et une jeune-fille mère, un peu toxico, qui incarne Véro. Dans les coulisses, ça suinte. Comme toujours chez Les 26 000, on ne sait ni le vrai ni le faux. La troupe dijonnaise retrouve ici Gabor Rassov – auteur de Jacques et Mylène et de À bien y réfléchir… – à qui elle commande pour la première fois un texte préalable, une histoire rocambolesque avec larmes, sang, massacres, merveilles, frissons, stupeur et tremblement. Il y a longtemps que la bande n’avait été faire un tour dehors, jouer dans la rue. En retrouvant le plein air, elle bouscule toujours autant les codes de la représentation et bascule dans une fable en trompe-l’œil, une attraction théâtrale et musicale où la morale masque la perversité à grand renfort d’illusion et de magie. Dans l’esprit des Tournées Fournel, Les 26 000 renouent avec les fondamentaux du divertissement populaire : mélodrame, buvette et barbapapa.