Tout au long de la saison, le TDB propose des temps de convivialité, de dialogues, des moments de rencontres et d’échanges parfois ludiques et festifs entre les artistes et le public en lien direct avec les spectacles. Les Impromptus s’inscrivent dans cette volonté d’échanges et de regards croisés autour d’un sujet, d’une thématique au coeur d’un spectacle sans que le spectacle soit au centre de la discussion. Certain·es artistes, certaines compagnies invitent des chercheur·ses, des membres de la société civile ou encore des personnes dont les recherches/le vécu ont contribué à nourrir le processus de création.
Les Impromptus au programme
Ma République et moi
Rencontre entre Issam Rachyq-Ahrad et un·e invité·e pour parler des valeurs de la République française.
Et si l’on avait pu remonter le temps… À Dijon, en 2019, Issam aurait réuni Julien Odoul, Fatima et Marie-Guite Dufay autour d’une table, pour parler, vraiment parler, des valeurs de notre République. Aux enfants présents, nous aurions dit que Fraternité n’est pas un mot de trop, ni une formule creuse. Avec des mots simples, nous aurions tenté d’éviter ce silence gêné… ou cette honte partagée.
-> samedi 15 novembre, 15:00
Salle Jacques Fornier
Entrée libre sur réservation
La Bande originale de nos vies
Carte blanche / Karaoké
À l’issue de la représentation, l’équipe de La Bande originale de nos vies prolonge votre plaisir musical en vous proposant un petit concert improvisé festif, joyeux et convivial autour de grandes chansons de la variété française et internationale. Un concert qui passera comme une étoile filante, où se joueront tous les tubes envisagés pendant les répétitions. L’occasion d’entendre, entre autres, Beyoncé ou Charles Aznavour, interprétés par l’équipe. Public, soyez prêt à être mis à contribution pour établir le programme des chansons !
-> samedi 31 janvier, à l'issue du spectacle Salle Jacques Fornier Entrée libre sur réservation
La Guerre n'a pas un visage de femme
Rencontre entre Julie Deliquet et Cécile Vaissié, docteure en science politique et professeure en études russes, soviétiques et postsoviétiques.
Comment peut-on aujourd’hui, alors que la Russie mène une guerre aussi impitoyable qu’insensée contre l’Ukraine, parler de la Seconde Guerre mondiale et la montrer du point de vue soviétique ? L’exercice est difficile, mais d’autant plus indispensable que la Seconde Guerre mondiale a été entourée de mensonges et de silences en URSS et l’est de nouveau, autrement, dans la Russie poutinienne, et que la place des femmes dans cette guerre y a été et demeure particulièrement invisibilisée.
-> samedi 07 mars, 15:00 Parvis Saint-Jean Entrée libre sur réservation