Ce que je reproche le plus résolument à l'architecture française, c'est son manque de tendresse
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Ce que je reproche le plus résolument à l'architecture française, c'est son manque de tendresse
Cie Légendes Urbaines
Écriture collective dirigée par David Farjon
Avec Paule Schwoerer, Sylvain Fontimpe, David Farjon
Dispositif technique Jérémie Gaston-Raoul
Lumières Laurence Magnée
Collaboration artistique Sarah Chaumette
Coproduction Théâtre de Vanves, Scène conventionnée pour la danse soutenue par DRAC Île-de-France
Avec le soutien de DRAC Île-de-France, ministère de la Culture ; ARCADI Île-de-France ; Studio-Théâtre – Vitry-sur-Seine ; Centquatre – Paris
Coréalisations Atelier du Plateau ; Gare au Théâtre ; MJC Mont-Mesly Rebérioux – Créteil
Résidences de création Studio-Théâtre – Vitry-sur-Seine ; Atelier du Plateau ; Théâtre Paris-Villette ; Le Collectif 12 ; MJC Mont-Mesly Rebérioux ; Le Lieu/Cie Les Fugaces
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
Où ont-ils bien pu loger la tendresse, dans les grands ensembles ? Par-delà les tours, barres et cubes, de quoi sont faits ces quartiers qu’on dit sensibles ? Nées Zones Urbaines Prioritaires après la Seconde Guerre mondiale, dans l’urgence de reloger et d’offrir à tous le tout-confort moderne, ces Zones sont aujourd’hui à Sécuriser en Priorité. Trois jeunes gens tentent de comprendre les utopies qui ont fait naître ces cités et les principes qui ont construit ces logements collectifs. Et, si aucun d’eux n’y a vécu, ils vont à la rencontre de leurs habitants. Pour revisiter leurs imaginaires et préjugés, alimentés par les images médiatiques : insécurité, pauvreté et délabrement. Alors, prenons La Grande Borne à Grigny dans l’Essonne, dessinée par Émile Aillaud, celui-là même qui a prononcé la phrase-titre : qu’y voit-on ? Sous la direction de David Farjon, la compagnie Légendes Urbaines interroge les récits périphériques de notre société depuis ses propres représentations et investigations. Les trois acteurs-chercheurs-explorateurs se font ainsi architectes, historiens et habitants d’une maquette modulable, élaborant indéfiniment le dédale humain, social, politique et poétique qui fonde la cité.
Dates de représentation
Accès
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Consortium
37 Rue de Longvic
21000 Dijon
Autour du spectacle
LA PRESSE EN PARLE :
- Ce que je reproche le plus résolument à l’architecture française, c’est son manque de tendresse - Estelle Moulard-Delhaye, lesouffleur.net