Le Capital et son singe

Le Capital et son singe
Compagnie Le Singe
À partir du texte Le Capital de Karl Marx
Mise en scène Sylvain Creuzevault
Avec Vincent Arot, Benoit Carré, Antoine Cegarra, Pierre Devérines, Lionel Dray, Arthur Igual, Léo-Antonin Lutinier, Frédéric Noaille, Amandine Pudlo, Sylvain Sounier, Anne-Laure Tondu, Julien Villa, Noémie Zurletti
Lumières Vyara Stefanova et Nathalie Perrier Scénographie Julia Kravtsova Costumes Pauline Kieffer et Camille Pénager Masques Loïc Nébréda Régie générale Michael Schaller Régie lumière Gaëtan Veber Production et diffusion Élodie Régibier, Edouard Chapot
Production Le Singe Coproduction Nouveau Théâtre d’Angers - Centre Dramatique National Pays de la Loire, La Colline - théâtre national, Festival d’Automne à Paris, Comédie de Valence - Centre Dramatique National Drôme Ardèche, La Criée - Théâtre National de Marseille, Le Parvis - Scène nationale Tarbes Pyrénées, Printemps des comédiens, MC2 : Grenoble, La Filature - Scène nationale de Mulhouse, L’Archipel - Scène nationale de Perpignan, Théâtre national de Bruxelles, Le Cratère - Scène nationale d’Alès, GREC 2014 Festival de Barcelona, TnBA - Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine, Kunstenfestivaldesarts, NXTSTP (avec le soutien du Programme Culture de l’Union Européenne) Avec la participation du Théâtre Garonne et du Théâtre national de Toulouse
Le projet est soutenu par la Direction générale de la création artistique du ministère de la Culture et de la Communication
Une table, eux et nous, de part et d’autre. Autour d’un bon plat, philosophes, politiques et poètes européens rient, cogitent, causent lutte des classes et fétichisme de la marchandise. On y est. À la croisée des révolutions, celle politique de la fin du XVIIIe et la grande industrielle du XIXe siècle. Inspiré par Le Capital, traité économique et anti-capitaliste de Karl Marx, Sylvain Creuzevault invente une comédie pure et dure avec gueuleton et grimaces. On y croise Benjamin, Blanqui et Debord, Lacan et Freud, les poètes aussi,Rimbaud et Aragon. Ça débute un 13 mai 1848 à Paris, juste avant la guerre civile de juin, lorsque se déroule le premier vote au suffrage universel direct (masculin) et que surgit la question du travail en politique. Ça continue un 13 juin 1919 à Berlin juste après la proclamation de la République et la guerre civile de janvier. Et ça finit sur les procès politiques des figures engagées dans ces deux périodes bouleversées. Après Notre terreur, présenté à Théâtre en mai en 2010, Le Singe prend pour cible les progrès de l’aliénation sociale obtenus par le mode de production capitaliste. Les treize acteurs expérimentent sur le plateau la démocratie qu’ils interrogent au sein de leur troupe. Fougueux et brillants, ils emportent l’Histoire, et nous avec, dans une farce agile et rusée.
Dates de représentation
Accès
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Salle Jacques Fornier30 rue d'Ahuy
21000 Dijon
Autour du spectacle
LA PRESSE EN PARLE :
- Le Capital pour les nuls - Noémie Peyrards, Le Bien Public (25/05/2015)