LE CROCODILE TROMPEUR / DIDON ET ENEE

LE CROCODILE TROMPEUR / DIDON ET ENEE
Théâtre – Opéra d’après Didon et Énée de Henry Purcell et autres matériaux
Mise en scène Samuel Achache et Jeanne Candel
Direction musicale Florent Hubert, Arrangement Musical Collectif
Direction chorale Jeanne Sicre
Avec Matthieu Bloch, Judith Chemla, Vladislav Galard, Florent Hubert, Clément Janinet, Antoine Kahan, Olivier Laisney, Thibault Perriard, Jan Peters, Jeanne Sicre, Marion Sicre et Lawrence Williams.
Scénographie Lisa Navarro
Lumières Vyara Stefanova
Costumes Pauline Kieffer
Construction des décors François Gauthier-Lafaye, Didier Raymond et Pierre Guilhem Costes
Production C.I.C.T. – Théâtre des Bouffes du Nord
Coproduction Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, La Vie Brève, Comédie de Valence – Centre dramatique national Drôme-Ardèche, MC2 : Grenoble, Le Radiant-Bellevue, Théâtre de Caen, Théâtre Forum Meyrin – Genève
Avec le soutien du Théâtre de la Cité internationale et l’aide à la production et à la diffusion d’Arcadi Ile-de-France, de la SPEDIDAM et de la DRAC Ile-de-France
Remerciements Frédérique Bini, Domitille Duke, Philippe Binard, Lucie Ben Bata, Agnès Estrade, Rémi Sella, Dominique Hollebeke et La compagnie Midi-Minuit
A Isabelle Seguin
« Crocodile trompeur ! » sont les mots que lance Didon, reine de Carthage, au bel Énée lorsqu’elle apprend qu’il veut la quitter pour rejoindre son destin et fonder Rome. Didon et Énée, monument de la musique baroque créé à la fin du XVIIe siècle, est composé sur un livret de Nahum Tate, lui-même inspiré de l’Énéide de Virgile. Ces réécritures successives dans l’histoire de l’oeuvre ont encouragé la jeune équipe de Jeanne Candel et Samuel Achache, composée de musiciens, d’acteurs et de chanteurs à « bricoler » librement autour de ce drame passionnel. Contrebasse, clarinette, saxophone, violon, trompette et batterie composent l’orchestre réuni par Florent Hubert pour raconter l’histoire de la reine Didon - Judith Chemla, incandescente soprano. Par un assemblage d’une grande élégance, le registre tragique du mythe est entrecoupé de digressions burlesques, d’instants musicaux jazzy et de tirades à l’ironie mordante, sans jamais trahir le chef d’oeuvre de Purcell. Une variation de l’opéra totalement loufoque et déglinguée, teintée d’un humour à la Monty Python et portée par une troupe magnifique.
Dates de représentation
Accès
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Grand ThéâtrePlace du théâtre
21000 Dijon